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Le programme du cycle 4

[...] Le cycle 4 poursuit l’investigation des questions fondamentales abordées dans les cycles précédents (représentation, fabrication, matérialité, présentation) en introduisant trois questionnements : « La représentation ; les images, la réalité et la fiction » ; « La matérialité de l’œuvre ; l’objet et l’œuvre » ; « L’œuvre, l’espace, l’auteur, le spectateur ». Les questions sont travaillées tous les ans dans une logique d’approfondissement.

Durant les cycles précédents, une sensibilisation à la création avec des outils et appareils numériques simples a été conduite, notamment au service de la production et de la transformation des images. Le cycle 4 introduit une approche plus spécifique des évolutions des arts plastiques à l’ère du numérique. Toutefois, les apprentissages ne se confondent pas au collège avec un enseignement isolé d’un art numérique.

Les professeurs créent les conditions matérielles et didactiques d’un recours au numérique à travers des outils, des supports, des applications accessibles et des pratiques variées. Il s’agit de faire appréhender aux élèves le numérique comme technique, comme instrument, comme matériau qui se manipule et s’interroge dans  une intention artistique, et donc non strictement dans des usages plus poussés des logiciels de traitement des images. La notion de projet est mise en place et développée graduellement sur l’ensemble du cycle dans les situations de cours ordinaires, dans les nouveaux espaces que sont les enseignements pratiques interdisciplinaires, dans des dispositifs plus exceptionnels engageant des moyens plus conséquents. Elle se comprend et se travaille selon quatre dimensions articulées l’une à l’autre dans l’enseignement :

       au niveau du professeur, il s’agit de concevoir un projet de parcours de formation pour les élèves, à l’échelle du cycle ;

       dans les situations d’apprentissage, par l’encouragement de la démarche de projet chez l’élève en favorisant désir, intentions et initiatives ;

       en aboutissant ponctuellement à des projets d’exposition pour travailler les questions de la mise en espace et en regard de la production plastique des élèves ;

       par la rencontre avec l’œuvre d’art et l’artiste, en contribuant à la démarche de projet dans le parcours d’éducation artistique et culturelle de l’élève.

Le travail à partir de l’exposition des productions des élèves ou dans le cadre de l’accueil d’œuvres d’art est mené dans des espaces de l’établissement scolaire organisés à cet effet (mini galeries). Plus exceptionnellement, d’autres espaces extérieurs à l’école peuvent être sollicités. [...]

 

Les trois grandes questions du programme :

 

La représentation : images, réalité et fiction

 

La matérialité de l’œuvre ; l’objet et l’œuvre

 

L’œuvre, l’espace, l’auteur, le spectateur

 

 

Ces trois questions sont travaillées tous les ans dans une logique d’approfondissement. Durant les cycles précédents, une sensibilisation à la création avec des outils et appareils numériques simples a été conduite, notamment au service de la production et de la transformation des images. Le cycle 4 introduit une approche plus spécifique des évolutions des arts plastiques à l’ère du numérique. Toutefois, les apprentissages ne se confondent pas au collège avec un enseignement isolé d’un art numérique. Il s’agit de faire appréhender aux élèves le numérique comme technique, comme instrument, comme matériau qui se manipule et s’interroge dans une intention artistique, et donc non strictement dans des usages plus poussés des logiciels de traitement des images.

La notion de projet est mise en place et développée graduellement sur l’ensemble du cycle dans les situations de cours ordinaires, dans les nouveaux espaces que sont les enseignements pratiques interdisciplinaires, dans des dispositifs plus exceptionnels engageant des moyens plus conséquents.

East side gallery Berlin

Richard Serra"Clara Clara" Tuileries 2010

LibeskindMusée Juif de Berlin.

Une architecture pleine de videS

Les élèves ont réalisé une maquette en papier d'une architecture où le vide est plus présent que le plein. Ils se sont interrogés sur la nature de ces vides :

  • structurels.
  • fonctionnels.
  • symboliques.

Dans une deuxième temps, ils ont représenté leur maquette selon le meilleur point de vue pour rendre compte des volumes, des pleins et des vides.

PLAT OU PROFOND ?

Mettez ce personnage en situation dans un espace où

la profondeur sera accentuée ou au contraire, niée.

OMBRE ET LUMIÈRE

D'après une sculpture de Jean Arp.